102 Roll, Lagrange, Théorème des accroissements finis

Lagrange, Théorème des accroissements finis

Le théorème des accroissements finis peut sembler trop évident parce que c’est un théorème, mais très important. Il sert à démonter, par exemple, le fait que quand la dérivée est positive, la pente de sa primitive est montante.
Pour f'(x) > 0 sur [ a, b] , démontrons que la courbe de f(x) est toujours montante.
x1 , x2 : deux nombre dans [ a, b ]
x1 < x2
( x2   –  x1 ) f'(c) = f(x2) – f(x1 )
Théorème des accroissements finis,
( x2 – x1 ) > 0
f'(c) > 0
donc
f(x2) – f(x1) > 0
Le théorème des accroissements finis est basé sur le théorème de Roll.

Théorème de Rolle
Si
a < b
g(a) = g(b)
alors il existe au moins un élément c tel que
a ≤ c ≤ b
g'(c) =0

Théorème des accroissements finis

alors il existe au moins un élément c tel que
x1 ≤ c ≤ x2

Pour commencer, nous prenons des fonctions affines.
f(x) et g(x) sont des fonctions affines.
Exprimez g(x)avec f(x) .

Cette foix, f(x) n’est pas nécessairement une fonction affine. Mais la même équation marchera.

Nous allons définir à partir def(x) une fonction g(x) , qui est typique pour théorème de Rolle.

f ”(x)> 0 sur [ a , b] , nous allons démontrer que le graphique de f(x) tourne sa concavité vers les y positifs.
Nous utilisons encore une fois le théorème des accroissements finis.
p< c < x
Quelle sorte de c doit-il y avoir?

Tout d’abord, écrivez l’équation de la tangente au point ( p , f (p)) sur f(x) .
y = f(p) + f ‘(p) ( x – p)
Nous utilisons encore une fois le théorème des accroissements finis.
p< c < x
Quelle sorte de c doit-il y avoir?

Comme le point q de la figure, le point où change la concavité d’une courbe s’appelle point d’inflection. La tangente au point q sur ce graphique est
( y − f(a) ) =f'(a) ( x − a)